Et maintenant, que vais-je faire ?

 

Et maintenant, que vais-je faire ?

comme le chantait Bécaud, cette phrase résonne dans l’esprit de beaucoup d’actionnaires ou ex-actionnaires.

A titre personnel j’ai vendu après le 28 juin et la réélection de Bertrand Meunier, unique raison pour laquelle je n’ai pas pris la présidence de l’Udaac, car je n’avais plus d’actions Atos et c’est toujours le cas, donc si le cours s’effondre encore, je me dis que ça accélèrera au moins la restructuration du capital que j’appelle de mes vœux afin que l’entreprise survive plutôt qu’elle ne soit démantelée.

Mais si je n’ai plus d’actions, comme vous, j’ai fait des pertes.

Quels sont mes droits ?

Car maintenant il ne s’agit plus de discuter de recovery comme la dernière Newsletter de l’Udaac du 5 février qui disait en bas de l’email espérer un retour rapide à 20€ comme vous pouvez le voir ci-dessous, newsletter – Décryptage de l’actualité.

Même les plus optimistes parmi vous ont désormais pris conscience de la gravité de la situation.

Bertrand Meunier et McKinsey nous ont vendu un rêve, celui d’un futur prometteur pour Eviden.

Kretinsky, en s’engageant à souscrire à 20 euros par action Eviden à titre de condition – cachée au marché – de l’acquisition de TFCo à des conditions très favorables, devait probablement servir de lièvre.

Afin de gagner du temps et repousser à plus tard une restructuration douloureuse du bilan, la direction a tout fait pour que les investisseurs se méprennent sur la réalité des difficultés d’Eviden et partant sur l’intérêt de réinjecter des fonds propres à un prix de souscription très élevé, eu égard à la gravité de la situation du groupe. La pression a manifestement obligé à Kretinsky à reconnaître qu’il n’était pas demandeur, contrairement à ce qu’indiquait Atos dans sa communication financière.

Les petits porteurs ont évité de réinvestir davantage d’épargne à fonds perdus et dans ce revirement d’Atos, le cabinet Vermeille & Co que j’avais mandaté à la constitution de l’Udaac s’est avéré un acteur majeur qui vous a évité une AK avec DSP à 5€ avec un cash qui aurait été brulé en 3 mois et une deuxième AK 6 mois après à 3€, etc… avec au final la même fin que nous allons connaitre.

En effet, contrairement à TFCo qui regroupe les activités historiques d’Atos et assez homogène, Eviden, elle, est très hétérogène.

En son sein, une filiale quasi autonome à forte marge (19%) se distingue : SYNTEL.

C’est elle qui permet à Atos de garder la tête hors de l’eau, et à ce stade, le souffle-court. Sans cette filiale autonome, la Marge Opérationnelle de Profitabilité (MOP) d’Eviden est désormais significativement inférieure à celle de TFCo. Mais paradoxalement, son achat à 3.2Md€ est aussi une des raisons de l’endettement du groupe.

 

Deux pôles notamment ne génèrent aucun bénéfice : Big Data qui peine à atteindre l’équilibre, équilibre d’ailleurs atteind seulement grâce à des commandes provenant d’organismes étatiques sous forme de subventions déguisées, et le Cloud qui est un échec retentissant. Bien que le blog vous l’explique depuis 6 mois, ce n’est que tout récemment qu’un reportage BFM a enfin expliqué que les supercalculateurs n’étaient pas rentables.

Même si le plan de séparation de TFCo avait abouti au prix demandé par Atos, entraînant tout de même une vente négative de 350 millions d’euros, Eviden n’était pas en mesure de générer un Free Cash Flow positif, ni cette année, ni l’année prochaine, probablement même pas  2026 (à cause de l’augmentation annuelle du coût de la dette), année 2026 où l’objectif était de parvenir à une MOP de 12 %… Et dire qu’on y a cru quelques mois à ces 12% durant l’automne 2022…

Donc le seul moyen pour Eviden de survivre serait de refinancer sa dette sur 10 ans en espérant qu’en 2028 ou 2029 la MOP se rapproche de 7% ce qui serait déjà un alignement sur la fourchette basse de la MOP des autres ESN.

Mais là où les entreprises lourdement endettées, mais profitables, refinancent constamment leur dette sans difficultés, à l’instar de la France qui n’a jamais remboursé sa dette et émet constamment des bons du Trésor pour se refinancer, personne ne veut aujourd’hui refinancer la dette d’Atos.

Par conséquent, Atos devra restructurer sa dette faute de pouvoir la refinancer et encore moins la rembourser et qui dit restructuration dit dilution massive.

En effet, il n’y a aucune autre issue. 

Même en supposant de manière très optimiste que la génération de FCF atteigne 50 millions d’euros par an, il faudrait alors à Atos 100 ans pour rembourser sa dette !

Parallèlement, les fournisseurs, qui acceptaient autrefois des paiements à 30, 60 ou 90 jours, exigent désormais un paiement avant l’expédition. Tout semble donc indiquer l’ouverture prochaine d’une procédure de sauvegarde pour restructurer en profondeur le bilan à l’instar du dossier Casino.

Pour Casino, la dilution des actionnaires a été de 99,7 %, ce qui revient quasiment au même pour les actionnaires qu’une perte totale du capital. Rien ne dit que l’issue sur Atos sera différente, surtout quand pour l’instant vous avez les mêmes acteurs, Kretinsky, les mêmes créanciers, le fond Attestor (entre autres) et le même mandataire, Hélène Bourbouloux.

Pendant que l’Udaac persistait dans son erreur à sauver l’action Atos, en gesticulant mais ne faisant rien si ce n’est que d’enlever de son site le nombre du capital cumulé et en n’enlevant pas les membres inactifs (jamais plus de 35 personnes n’ont assisté aux visios sur soi-disant 192 membres!!). On m’a confirmé que des membres ayant demandé à être retirés, figurent toujours en membres actifs. Atos devient leur mentor.

Selon mes informations, il n’y aurait plus que 68 membres actifs.

Le blog travaille depuis 2 mois sur la création d’un collectif, qu’il a nommé l’UPRA [Union pour la réparation des actionnaires]. En effet nous ne croyons pas à des gros éléphants comme l’ADAM qui ne connaissent rien au dossier Atos.

Collette Neuville présidente de l’ADAM a été administratrice d’Atos 10 ans durant et a voté TOUTES les décisions de Breton et Meunier y compris les plus débiles comme la lettre d’intention à DXC. Elle est donc en titanesque conflit d’intérêt.

Vouloir s’allier à tout prix, c’est aussi perdre du temps. Je savais qu’il n’y avait rien à attendre pour l’Udaac d’alliances, l’ancien président Francis Unal, lui y a consacré environ 50% de son temps à chercher des alliances plutôt que des membres, pour le résultat que l’on sait.

Notre collectif estime qu’il est désormais trop tard pour tenter de sauver Atos, mais qu’il est plutôt temps de réclamer des réparations à ceux qui ont trompé le marché en donnant une image excessivement optimiste de la situation d’Atos en recourant massivement à l’ingénierie financière, au maquillage comptable, voire à la fraude comptable, qu’il faudrait prouver grâce à des expertises, mais qui seront très couteuses.

Nous envisageons d’engager une action collective en réparation. Notre objectif est de trouver un financement pour cette action. Nous avons de nouveau compte tenu de la réussite de l’action du cabinet Vermeille avec l’Udaac et de l’échec du remplaçant, choisi par le bureau après mon départ.

J’ai donc d’ores et déjà et tant que membre fondateur du collectif UPRA contacté le cabinet Vermeille il y a un mois de cela pour savoir s’il serait intéressé pour superviser une action en réparation.

Il a répondu positivement à ma demande et nous travaillons ensemble depuis un mois sur le dossier. Ils ont à ma demande identifié, pour l’instant à titre gracieux (probono), une demi-douzaine de fonds pour financer notre recours et leur ont soumis un plan d’action pour avis.

Vous allez certainement me demander : pourquoi je vous parle soudainement de fonds ?

Parce qu’une telle action en réparation va se chiffrer en millions d’euros. Chaque expertise est à la charge du plaignant et peut se chiffrer en centaines de miliers d’euros, voire en millions d’euros s’il faut passer par un cabinet international.

D’autre part, est-ce qu’un actionnaire qui a perdu 50 000€ est prêt à remettre au pot 30 000€ sans certitude de récupérer ni les 50 000€ perdus, ni les 30 000€ supplémentaires de sa quotepart de frais d’avocats ?

Un fonds qui serait réceptif à notre action, avancerait tous les frais, mais bien sûr récupèrerait une partie des gains et je préfère ne pas faire de langue de bois et être clair; compte tenu du risque pris par le fonds, et de l’échec fréquent de ce type d’actions, la part récupérée par le fonds sera même probablement légèrement supérieure à la part récupérée par les plaignants si l’affaire est gagnée.

Mais à l’inverse, si l’affaire est perdue, cela ne vous aura rien couté.

===

Il est important de noter que si un plaignant décide de poursuivre en son seul nom, ce que pour l’instant souhaite faire Alix déjà contacté, (mais si Hervé Vinciguerra me lit, qu’il sache que son porte-parole a refusé de nous mettre en contact); et que si des expertises sont demandées par le tribunal et il y aura des expertises demandées, cela peut entraîner des frais se chiffrant en millions d’euros. Le simple audit des comptes d’une seule année fiscale est facturée 5M€ par les commissaires aux comptes et nous souhaitons remonter sur les 5 dernières années.

C’est donc un choix cornélien à faire pour un gros perdant sur Atos :

Récupérer 100 % des réparations en avançant des frais juridiques monstrueux et des frais d’expertise gigantesques et augmenter la perte significativement si l’action judiciaire est perdue, voir perdre plus en avocat qu’en perte boursière,

Ou,

être satisfait de récupérer qu’une partie des réparations tout en infligeant des pénalités aux responsables pour qu’il n’y ait plus de sentiments d’impunité zéro au sein des entreprises côtés.

===

Nous souhaitons fédérer les actionnaires, mais aussi et surtout les salariés actionnaires d’Atos qui ont la double peine de voir leur entreprise s’effondrer et leur PEE faire la même chose. Les salariés Atos que ce soit en direct ou à travers le FCPE Atos.

Nous savons que Stéphane Richard président du board du FCPE des salariés Atos prépare une pétition pour demander des réparations au board.

Sincèrement, vous y croyez-vous aux pétitions ?

Si les pétitions ça marchait, y’a longtemps que ça se saurait et que Julien Assange serait déjà libéré.

Je vois là surtout une façon déguisée de Stéphane Richard de se dédouaner vis-à-vis des actionnaires salariés dont il est le représentant officiel en tant que président du board du FCPE, le tout, sans trop brusquer la direction d’Atos. Je l’ai contacté par mail et je n’ai pas eu de réponse de sa part. Cela confirme que cette pétition n’est selon moi rien d’autre qu’une hypocrisie malsaine pour se dédouaner de sa complicité dans le naufrage. S’il est sincère, il a mon tel.

D’ailleurs le contrat FCPE que j’ai en ma possession est très mal rédigé, il stipule que les membres du FCPE pourraient ne pas récupérer la totalité du capital, sans JAMAIS faire mention EXPLICITE d’une possibilité de perte totale du capital. C’est du Atos tout craché. Du pur jus de la com Atos. Comme l’action ne peut théoriquement valoir zéro, mais au pire 0.001€, il ne peut y avoir qu’une perte de 99.999%, mais pas de 100%, donc pas de perte totale, juste du 99.999% CQFD !

Encore une fois, à la dir com d’Atos, je dirais la même chose que Biden a dite à Poutine récemment !!!

À ce stade, nous pensons que les meilleures chances de réparation sont dans une action contre les auditeurs, une fois que les comptes auront été refaits. Il n’y a aucun problème juridique pour ce que les salariés se retournent contre les auditeurs.

Aussi, aux salariés du FCPE, qui ne sont pas des fans des pétitions, je dis « rejoignez nous ». Aux salariés qui ont acheté leurs actions chez leur courtier, je dis : « rejoignez-nous ». Y compris Alia Iassamen, car elle en a acheté un paquet 😀

Vous n’êtes pas dans l’illégalité, vu que nous allons concentrer nos attaques sur le conseil de votre employeur, mais pas votre employeur directement (mais pour être franc surtout parce qu’il n’est pas solvable 😀 )

Cependant, les potentiels plaignants aimeraient probablement obtenir des détails concrets, tout comme les fonds sondés oralement souhaitent des détails sur les plaignants. Malheureusement nous ne pouvons pas être trop précis à ce stade dans un article public afin de ne pas donner à l’avance notre stratégie à l’adversaire.

Bien que nous ne puissions fournir des chiffres exhaustifs à ce stade sur les « erreurs » comptables que nous soupçonnons, sur la une liste exhaustive des griefs pour des raisons de confidentialité, nous avons absolument besoin de vous dès maintenant.

Et par soucis d’efficacité, nous nous adressons d’abord à ceux qui ont subi les plus grandes pertes, car plus la réparation sera élevée, plus le fonds sera convaincu de l’intérêt d’apporter un soutien financier à notre action, à savoir ceux qui ne peuvent autrement faire valoir leurs droits en justice.

Pour ceux qui trouveraient anormal qu’un fond récupère une partie de leur préjudice subit, le profil type de personne type Soleil78 (une actionnaire pilier du forum Boursorama) et qui va immédiatement penser qu’au lieu de vouloir aider des actionnaires ruinés, qui vont immédiatement penser que mon action est intéressée et/ou que mon action est de faire gagner plein d’argent au fonds qui sera choisi par moi avec une grosse commission à la clef. Donc oui bien-sûr, madame Soleil78 que mon action est en plus de défendre l’intérêt des actionnaires intéressée financièrement parlant, pourquoi travaillerais-je gratuitement? vous n’aimez pas l’argent vous ? Dans ce cas, pourquoi jouez-vous en bourse ?

Vous aurez compris qu’en invectivant cette Madame Soleil78, je cherche humoristiquement par avance à répondre aux mauvaises langues.

1/ contrairement à l’Udaac où je n’étais plus actionnaires, je suis concerné puisque j’ai fait des pertes et je comprends donc ceux qui en ont fait sur la base d’informations trompeuses de la gouvernance d’Atos

2/ l’intérêt financier que je tirerais éventuellement de cette mission.  Je réponds d’avance à la question. Oui, si un fonds nous finance, je toucherai une rémunération et elle sera transparente vis-à-vis des membres du collectif et proportionnée à mon travail.

Pour ceux que ça dérangerait beaucoup, je vous prie simplement de garder vos commentaires pour vous, et je vous dis aussi bon courage et allez dépenser seuls des millions d’euros dans une quête où il faudra faire travailler une dizaine d’avocats. Pour les autres, vous m’avez déjà vu à l’œuvre depuis avril dernier, vous savez ma capacité à entreprendre et mon enthousiaste.

===

Dans la phase d’approches auprès des fonds, nous avons besoin de personnes ayant subi des pertes très important d’au minimum 50 000 € et acceptant que leurs coordonnées soient communiquées aux fonds intéressés. L’utilisation de ces données sera totalement confidentielle et ne servira pas à d’autres utilisations que d’estimer les réparations potentielles.

Le blog Atos n’est pas une entité morale, mais se présente actuellement pour la présidence de ce collectif, dont l’objectif à court terme, est de rechercher un financement pour l’action en réparation à venir.

Pour avancer sérieusement dans cette action, nous aurons besoin que vous inscriviez sur le site http://upra.fr  les informations suivantes : nom, prénom, email et numéro de téléphone et montant des pertes à recouvrer.

Ce n’est pas toujours un exercice évident de communiquer ses pertes. On aime à parler de ses gains, mais on a tous de la pudeur, surtout en France où l’argent est tabou, à parler de ses pertes. Je donne donc l’exemple. J’ai perdu entre 21 000 et 22 000€ sur l’action Atos.

Malheureusement pour eux, ceux qui ont le plus de chance de donner envie à un fond de nous financer sont ceux qui auront le plus perdu. Il va donc valoir pour une fois mettre votre pudeur de côté si vous voulez que cette action aboutisse.

Si votre perte est très grosse et que vous souhaitez dans un premier temps en discuter oralement, cela est possible, mais nous vous demanderons de vous inscrire préalablement sur le site de l’UPRA à l’adresse Upra.fr . Vous comprenez que nous pouvons pas répondre à un coup de fil anonyme, nos adversaires pourraient utiliser ce moyen pour nous tester.

Pour ceux qui ont des pertes de 5000€ ou 10 000€ et qui trouvent cela énorme et se sentiraient snobés. Tout d’abord cela ne veut pas dire que vous ne pourrez pas participer à l’action, mais pas à ce stade, celui de la prospection du financement du collectif.

Après, je vous le dis clairement après 25 années d’expérience de la bourse. Si vous avez des pertes de 5000€ ou moins. Tournez la page, ne pensez plus à cette action, déclarez la moins-value aux impôts et sortez Atos de votre esprit. Les procès sont source de stress inutiles. Moins on en fait, mieux, on se porte.

D’autre part, pour faire partie du collectif, vos actions doivent avoir été achetées il y a 5 ans ou moins. Nous ne pourrons pas retourner plus loin pour démontrer soit une possible fraude, soit une communication trompeuse ayant induit les actionnaires en erreur sur la situation de l’entreprise.

Les pertes doivent être des pertes classiques. Achat puis revente plusieurs mois après. Les pertes de trading intraday ou les A/R plusieurs fois dans le mois ne pourrons pas être pris en compte.

Nos objectifs :

*1000 plaignants avec une perte supérieure à 10 000€.

*Démontrer que Atos et les commissaires aux comptes d’Atos ont sciemment trompé les actionnaires pour cacher les dérives du groupe après l’acquisition de Syntel.

En effet Thierry Breton parlait toujours en dette nette, mais vous avez compris (j’espère) à la lectures des derniers articles que cela ne veut rien dire car on peut mettre le niveau de cash que l’on veut dans la trésorerie en jouant sur l’afacturage et l’afacturage inversé. Je vous remontre la VRAI dette d’Atos reconstitué cette fois par mes soins d’après les DEU :

Pourquoi le blog est la seule entité légitime à mener ce combat en prenant la tête du collectif UPRA ?

1/ le blog le premier a lancé une fronde pour démettre Meunier en avril 2023. Nous avions réunit 1% en incluant les actions de la SAS ASDI. D’un commun accord avec la SAS ASDI, nous avons fusionné notre action avec Sycomore et laissé Sycomore gérer la fronde pour qu’il n’y ait qu’un seul étendard avec le plus de % du capital possible. Nous avons démontré notre capacité à attirer la confiance de gros actionnaires.

2/ le blog dès la vente d’EcoAct a titré le 4 juillet (le lendemain de la vente) « ATOS sous la tutelle des banques? » . Tout le monde sait maintenant que le pool bancaire avait conditionné le renouvellement du prêt syndiqué à la vente de TFCo. Donc oui Atos était au jour de l’article déjà sous la tutelle des banques.

3/ le 28 juillet à 9H02 nous avons publié un article incitent à vendre l’action en urgence. Voici la photo d’illustration. Cliquez pour relire l’article

4/ Le 1er aout nous avons renouvelé notre conseil à vendre avec objectif de cours de 6€.

5/ Le 2 aout nous avons créé, seuls, l’UDAAC. Au moment où nous avons choisi le bureau, erreur de casting, nous ne sommes pas parfait loin de là, il y avait presque 400 pré-adhérent et 2.7M d’actions cumulées. Il reste 68 membres dont 25 membres actifs qui ont assisté à la dernière AG en visio (chiffres de l’ex-secrétaire de l’Udaac Mohamed qui a quitté ses fonctions lors de l’AG).

6/ Le 11 aout, nous avons publié le premier article en France expliquant qu’Atos faisait un chèque de 1 Md€ à Atos avec une vente à prix négatif et que la communication d’Atos était mensongère. Nous avons pris SEULS le risque de diffamation là où aucun média n’a pris ce risque d’alerter les actionnaires.

7/ À partir de mi-novembre, nous avons expliqué à nos lecteurs, que notre plan Refocus not Split n’était plus applicable compte tenu de la dégradation de la valeur des actifs et de la vente partielle de 10% de Syntel STT, la joint venture avec The State Street Inc, la partie la plus rentable de Syntel.

En résumé, le blog Atos est le seul média depuis un an à défendre les actionnaires contre vent et marées et servir de contrepouvoir à la dir com d’Atos, dir com telle que Biden a récemment décrit Poutine.

Beaucoup ont cru à tort que je voulais faire baisser l’action. Mon but à toujours été de vous faire fuir et de vous mettre en garde face aux mensonges d’Atos qui a eu, selon de nombreux acteurs du dossier, plusieurs injonctions AMF ayant donné lieu aux communiqués du 16/10/2023 et du 3/01/2024.

Vous pouvez donc avoir confiance en moi.

Grâce à mon travail (acharné) vous avez eu de nombreuses informations avant tout le monde et jamais je n’ai divulgué mes sources. J’ai toujours ne ma possession le fichier de l’Udaac, et je ne vous ai jamais contacté pour vous solliciter ou vous dire que l’Udaac était infiltrée et déjà dirigée par Hervé Lecesne en sous-marin. J’ai quitté l’Udaac, j’ai donc laissé faire l’Udaac, vous ne m’auriez pas cru de toute façon.

8/ Nous avons travaillé en pleine confiance avec le cabinet Vermeille & Co durant 4 semaines de mi-aout à mon départ mi-septembre. Puis, nous sommes restés en contact de façon informelle pour tenter de percer les mystère de ce dossier unique en son genre.

Si un cabinet n’avocat me fait confiance pour mener cette campagne de réparation, vous vous doutez que j’en suis digne et qu’on s’estime réciproquement indispensables au dossier de réparation.

Francis Unal a voulu diaboliser le Blog Atos avec des propos diffamants et injurieux. Vous savez aujourd’hui désormais qui du fondateur de L’Udaac (moi Marc) ou des pièces rapportées via un mauvais casting, étaient dans le vrai.

C’est un long combat qui commence. Vous avez certainement beaucoup de questions. Une première réunion en visio aura lieu samedi en fin de matinée après les résultats digérés et une fois que nous aurons vu si les dépréciations sont réellement de la paille de fer, où du Canada Dry.

Pour l’instant, SVP de courtes questions synthétiques. Cette action va durer au minimum un an. Beaucoup d’entre vous savent que je consacre une grande partie de mon temps au dossier, mais je continue à gérer le blog.

 

 

 

 

Be the first to comment on "Et maintenant, que vais-je faire ?"

Leave a comment

Your email address will not be published.


*